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11 janvier 2009 7 11 /01 /janvier /2009 21:59
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    Confessions intimes, ça reste le top quand même. Ils trouvent des cas que même Delarue hésiterait de croiser dans une rue sombre, et en plus ils t'épargnent souvent le reflexe judéo-chrétien sauce cathodique de tentative de rédemption à base de "prêts à tout pour sauver leur couple en danger, Jean-Paul S. et Simone de B. ont accepté les conseils de notre psychologue conjugal, Gustave Parking".
    Non, dans Confessions Intimes, on pousse juste à fond le concept "chez spectateurs, regardez ces nazes improbables, regardez comme vous êtes mieux qu'eux". Efficace même chez les nazes improbables.
     

  • Identification du problème : est-ce bien raisonnable de passer des heures à ricaner devant TF1 alors que tous ces livres fraîchement achetés restent cruellement délaissés ?
     

  • Amorce de solution : dédramatiser en invoquant au choix une fière résistance à la dictature culturelle bien-pensante, une étude debordienne sur l'évolution des productions Endemol en temps de crise économique, ou un prosaique "t'es vraiment sûre que c'est pas le Théma sur le cinéma néo-réaliste bulgare ? Raah, putain de clebs, il a encore dû s'assoir sur la télécommande !"

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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 12:32
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    Au début, j'ai cru qu'il jouait. C'est vrai quoi, il est si petit, et puis on les voit pas grandir, un jour ça boit du Chocapic devant Gulli et le lendemain ça décapsule des bières avec les dents en écoutant les Ramones. Alors forcément, ça m'a fait un choc de le voir dans cet état.
     

  • Identification du problème : s'abandonnant à un regrettable mimétisme élyséen, le chien, 30 cm au garrot, entreprend très ardemment le pouf rose trop grand qui lui sert de couche. Adoptant pour l'occasion un air à la fois éberlué et besogneux, les oreilles en arrière et l'oeil vitreux, il tente de bloquer l'objet de sa pâmoison entre ses pattes avant (pas facile)(va pécho un gros coussin sans pouces opposés toi) tandis que va et vient le stakhanoviste croupion calé sur les coups de boutoir du Jump in the pool de Friendly Fires.
     

  • Amorce de solution : laisser faire et ouvrir la porte de la chambre d'ami pour que Solange (la chatte) se mette à l'abri du libidineux canidé.

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3 décembre 2008 3 03 /12 /décembre /2008 11:35
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    J'ai toujours trouvé ça suspect, les collections, je vois un peu ça comme les tranquilisants, tu mets le doigt dedans et ça te bouffe le bras jusqu'à t'arracher les poils des aisselles et ça non alors, merde. Pourtant, je connais des gens très biens qui trimballent des cartons pleins de boules à neige, de figurines de trolls verdâtres, de bonhommes kawaï vendus au prix d'un rein (chacun), de chaussures improbables, de capsules rouillées, de pulls noirs aux nuances infinitésimales, de 45 tours de Michel Delpech...
     
    (Je pensais à ça l'autre jour, en finissant de trier quelques milliers de mp3 soigneusement tagés et pochetisés, confortablement assis à côté de mes Billy où livres et cd sont rangés par strict ordre alphabétique, non loin de quelques centaines de billets Paris-Bordeaux empilés du plus vieux au plus récent).

     

  • Identification du problème : Pourquoi passer des heures à trier 30 Go de compiles des Festive Fifties de John Peel pour n'en garder qu'une cinquantaine de titres aussi indispensables que "Like a virgin" repris par Teenage Fanclub...
     

  • Amorce de solution : concentrer la névrose sur une collection de vieilles photos de groupes pour habiller l'entrée (si ton aieul a posé avec ses camarades dans la grande cour du bagne de Cayenne, devant le pavillon des cas graves à Sainte-Anne ou à Matignon entre Alain Peyrefitte et Pierre Messmer, ça m'intéresse).

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1 décembre 2008 1 01 /12 /décembre /2008 13:22
  • (Non j'déconne)

  • (C'était juste pour dire :)

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    Ca y est, j'ai vaincu Christ, dans-ton-cul-Jésus.

  • Mon fils m'a dit, je cite ce petit con aux joues roses : "t'as pas l'air SI vieux non plus". Y'a fallu que je l'humilie un peu à la PS3 pour retendre momentanément l'admiration de plus en plus élastique entre ce jeune impertinent du troisième millénaire et moi qui suis né (et de justesse encore) sous Giscard - pour tout dire, j'aurais préféré naitre sous Pompidou, qui me fait toujours penser à Marilyn ("Pom-Pom-Pi-Dou, Pou !") comme Steve Fossett m'évoque invariablement "quarante-deux".
    Je passe sous silence le sempiternel châton rouquin ornant la carte d'anniversaire envoyée par ma mère ("bah quoi, t'aime pas les chiens !")(sic) et les premiers messages ô combien chaleureux reçus à minuit pétantes (j'en profite pour remercier tous mes amis Yahoo, Gmail, Cdiscount, SNCF, Amazon...).

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  • EN DEPIT DE TOUS CES DESAGREMENTS J'AI LA BANANE GRAVE et la ferme intention d'améliorer encore ce qui peut l'être (the sky's the limit yes we can et toute cette sorte de choses).

  • Une sorte de Grenelle du boultan quoi, plus égocentrique que mon-espace, plus inutile que livre-visage, et sans personne à draguer : un compte-rendu des travaux sera délivré ici même très très souvent (tu m'connais).

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  • (à être continué)


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  • mots-clé du jour :
        Macumba blog / Weed

 

  

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14 novembre 2008 5 14 /11 /novembre /2008 12:21

  • Je sais bien que la crise financière tu t'en tamponnes, que les premiers froids tu les braves tout nu zizi dehors s'il le faut, que Barack Obama bon ça va un peu mais qu'il essaie de faire la même chose en s'appellant Harlem Désir et on en reparlera.
    Je sais bien que le seul rayon de soleil dans ta vie, c'est quand j'écris des trucs ici.

    Surtout que maintenant, avec mes trois lecteurs et demi, c'est quasiment du tête à tête intimiste, non j'allume pas les bougies, faudra bien s'éclairer cet hiver quand ils auront coupé l'électricité, m'enfin le coeur y est.
    Seulement, voilà, toi l'insatiable qui ne pense qu'à son petit bonheur nombriliste de lecteur, tu ne te rends pas compte du boulot que j'ai. En plus de ma vie déjà trépidante à la base (y'a des jours où je pose mon séant sur au moins quatre chaises différentes)(si !), j'aide un peu, à la hauteur de mes moyens (qui sont très moyens), au retapage complet d'une aimable bicoque censée accueillir (à partir de la fin du mois)(oui, ce mois-ci)(c'est là qu'est l'os) mon indécente joie de vivre et sa source et tous les ayant-droits durant de longues années.
    (spéciale dédicace à tous les poseurs de lino qui ont la main lourde sur la colle : je vous conchie, allez pourir dans l'anus malade de Frédéric Lefebvre)
    Et je te parle pas d'autres obligations comme les cartons, la dernière saison de Weeds, la gestion de stress, les listes de Nouèl, le débat sur la défense centrale de l'équipe de France, les trous qui restent à boucher dans mon palace du 93, les fous qui acceptent de venir visiter ledit palace en pleine nuit et sans escorte policière, l'enseignement de la multiplication niveau CE2 au moyen de cartes Yo-Gi-Ho...

    Alors tu comprends bien que je n'ai guère le temps pour la plaisanterie.

    JE FAIS CE QUE JE PEUX ET JE PEUX PEU.


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  • mots-clé du jour :
        Quel est l'animal domestique de Christophe Maé / Marre de rien foutre

 

  

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11 septembre 2008 4 11 /09 /septembre /2008 19:31

  • Puisque l'Amérique c'est le futur (t'as qu'à voir tous les néons, si c'est pas une preuve ça), on devrait logiquement être gratifiés en 2012 d'un choc Charles Pasqua - Harlem Désir. Rigolez mais en 2003, le duo Sarkozy-Royal dépassait à peine Taubira-Madelin chez les bookmakers. En attendant cette glorieuse perspective, ça tombe dru de l'autre côté de l'Atlantique, sept ans après. A Palin se présentant finement comme "un pitbull avec du rouge à lèvres", Obama a rétorqué l'expression américaine usuelle "vous pouvez bien mettre du rouge à lèvres à un cochon, ça reste toujours un cochon". Classieux. Autant te dire que Nadine Morano a moyennement apprécié.

    Pendant ce temps-là

    Si j'en crois mes voisines de train, les lesbiennes aussi lisent Marc Levy. Damned.

    Pendant ce temps-là

    Pour des raisons souvent indépendantes de ma volonté (genre l'absence de volonté), il a fallu du temps pour que je puisse installer ma bibliothèque dans mon nouveau clapier Seine-Saint-Denis-Staïïle. Et bien avant ça, j'étais pas fichu de m'y sentir chez moi. Malgré le lit, malgré le four, malgré même la grosse télé neuve. Comme quoi la télé reste une fenêtre à travers laquelle et pas un foyer autour duquel, le foyer c'est les livres et les disques et la paperasse et les photos et le trombone qu'on traine depuis quatre déménagements et la bougie en cire little girl's hand-made qu'on se refuse à cramer. Là, avec la bibliothèque posée-remplie-triée, je suis bien.
    (du coup je regarde la télé au lieu de lire)(sic)

    Pendant ce temps-là

    Contrairement à ce qu'on nous rabâche à longueur de temps pour nous culpabiliser alors que merde, ils m'ont niqué avec le précédent alors je vais pas acheter le dernier Bloc Party les yeux fermés quand même, les méchants téléchargeurs n'empêchent pas les gentils artistes de gagner leur vie. Pour preuve, les versements de la Sacem ont augmenté de 40 % entre 1998 et 2007, idem au Royaume-Uni et aux Etats-Unis. Alors hein.


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  • mots-clé du jour :
        Déambulateur ultra léger rouge / Pour l'amour du risque

 

 

 

 

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26 août 2008 2 26 /08 /août /2008 17:31
  • Avec un chien, on réalise une fois de plus que l'enfer, c'est les autres.
    Ca ne m'était jamais apparu aussi clairement parce que mon chien à moi de quand j'étais petit, avec qui je faisais la sieste roulé en boule contre son gros poil puant de chien, c'était ma mère qui le sortait. "Sortir le chien" s'avère en l'occurence assez proche de "ce soir, on sort, chérie" ou de "dis Kévin, tu veux sortir avec moi ?" : qu'on le veuille ou non, il s'agit de créer du lien social, d'affirmer à la face du monde qu'on appartient bel et bien au club de ce qui ont un chien/vont au théatre/roulent des pelles.
    (non mais franchement)
    ("tu veux sortir avec moi ?")
    (m'est avis que Kevin, il a plutôt envie de rentrer avec toi)
    Donc ma mère sortait le chien, c'était son facebook à elle et ça l'est toujours, son lien avec une réalité virtuelle pleine d'humanoïdes triés via un biais unique, ici la faculté à s'intéresser à la vie des clebs.
    Moi, quand j'ai expérimenté ça avec Sam, ça m'a fait tout drôle.
    Surtout les femmes.
    A n'importe quel âge post-pubertal (curieusement les gosses savent se tenir), la femme ne peut croiser le regard d'un quadrupède poilu sans se mettre à glousser, sa voix part dans des aigus de hyène agonisante, son vocabulaire se restreint à quelques borborygmes niaiseux ("okiléchou", "tavulepitissien", "oregad'regad'regad'"). Au risque de passer pour un affreux mysogyne, je prend le risque (aidé en cela par l'assentiment de ma chère et tendre) de l'affirmer haut et fort : le chien rend la femme encore plus con que le bébé. C'est dire.
    Outre cet abêtissement soudain qui, après tout, ne regarde qu'elle (m'enfin, moi, je ne parle à ma chatte qu'en tête à tête), le pitissien a un autre effet sur la femme : il abolit à ses yeux toute notion de propriété privée, éradiquant plus de deux siècles de code civil en un clin d'oeil. Vous vous promenez peinard dans la rue avec le clebs dans les bras, afin qu'il ne souillasse pas d'un jet d'urine incontrôlé les étalages de bracelets bariolés ou de poteries décorées à la main qui polluent tous les marchés estivaux, quand, soudain, une, deux, trois mains inconnues l'agrippent, le triturent, le pouitrent, l'asticotent sans crier gare, avec le même sans-gène que les tripoteurs compulsifs de ventres de femme enceinte, tandis que des voix stridentes, sans même se présenter d'un "bonjour, est-ce-que-je-peux", vous somment de répondre à deux questions, toujours les mêmes, toujours : "cékoikomechien" et "kélajila".
    Très vite fatigués par les assauts répétés de ces malotrues ayant momentanément troqué leur cerveau contre un gâteau de semoule, nous oscillons encore entre la franche mauvaise humeur (- cékoikomechien ? - c'est un chien <oeil noir>) et le foutage de gueule (déjà testé quelques races : le no-logo aquitain, le briard libournais, le "pitissien" ; en projet : le dalmatien allemand, le bouvier de Tchernobyl, le chien de nain aveugle...).
    Après on s'étonne que j'aime les chats (*).


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  • (*) Déjà, le chat ne sort pas en laisse, ne se laisse pas tripoter par tout le monde, ne renifle pas le cul de ces congénères, ne pisse pas là où tous les autres pissent.
    Le chat ne sort pas, d'ailleurs, ou alors à ses heures, pour te faire chier à 6h du mat' quand il gratte à la porte pour rentrer chez lui, où il a déjà la bonté de te tolérer.
    Le chien est un animal domestique, le chat est un animal de compagnie.
    Le chien te suivra jusqu'à la tombe, le chat jusqu'à la gamelle.
    Le chien est servile, le chat est vil.
    Alors, connaissant l'ignominie et la petitesse de l'humain de base, comment prendre au sérieux ces chiens qui nous révèrent tant, quand les chats démontrent chaque jour la pertinence de leur jugement en se foutant copieusement de notre gueule ?



mots-clé du jour :
    Gourdasse / Famas

 

 

 

 

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27 juillet 2008 7 27 /07 /juillet /2008 11:08
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    Jeudi
    La pluie médocaine pousse à renouer avec l'asservissant réseau mondial... mais la recherche de mobilier bêtement utilitaire dérive rapidement vers une quête autrement plus sexy (une grande télé)(rapport au salon plus grand que l'ancien)(complètement obligatoire quoi)(plus qu'une table, pour sûr).

  • Vendredi
    La grisaille continue induit une forte contagion de dérive consumériste, et une recherche d'emploi en bonne et due forme aboutit finalement à la réservation d'un kiki de deux mois. Intense brainstorming quant au patronyme à donner au dit kiki.

  • Samedi
    Introducing Sam...

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mots-clé du jour :
 Antigone / Gynécologie tyrolienne

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14 juillet 2008 1 14 /07 /juillet /2008 10:54
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    Lundi
    Retour à Paris, 3 jours pour trouver des déménageurs juste avant le pont du 14 juillet, emballer tout l'appart', régler les détails de la caution bancaire.
    Première décision : écluser les vivres, soit une journée pizza/Häagen Dazs (trop) arrosé de Cahors.
    Ennuis gastriques à prévoir.

  • Mardi
    Défilé de "commerciaux" d'entreprises de déménagement.
    Fous rires larvés.

  • Mercredi
    Vu dans la devanture de la Librairie Chrétienne de la rue de Rambuteau, un livre intitulé "Le Sauveur".
    En couverture, la nuque de Zinédine Zidane.

  • Jeudi
    De ce putain de déménagement, il est tout de même permis de tirer quelques enseignements salutaires.
    Après avoir vidé la chambre de mon fils, il me semble ainsi clairement établi que cet enfant n'est en aucun cas allergique à la poussière.
    Le tri de la cuisine m'apprendra également qu'il supporte parfaitement la nourriture avariée.

  • Vendredi
    Tout est emballé, plastifié, papier-à-bullé, cartonné. Tout ? Non, un modem ADSL et un PC portable résistent encore et toujours à l'envahisseur.

  • Samedi
    C'est limite insultant de voir que ce qu'on a mis trois jours à emballer en râlant est embarqué en une heure par deux déménageurs joviaux - le troisième déménageur se retenant de zigouiller la voisine (madame Chaquès)(la fameuse) qui passe sa matinée dans la cage d'escalier à surveiller les opérations de son mauvais oeil (le gauche ou le droit, qu'importe, tout en mauvais dans madame Chaquès).

  • Dimanche
    Je me réveille Montreuilois (?). Une heure durant, je trempe mes tartines dans le café en me grattant le ventre devant l'ordi.
    C'est bon, ma vie est aussi trépidante qu'à Paris.

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 (Jérôme Brézillon)

mots-clé du jour :
 J'aurais aimé être un PC j'aurais pu redémarrer ma vie en mode sans échec / Allo docteur acné

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12 juillet 2008 6 12 /07 /juillet /2008 09:38
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    Oh, vas-y, tu peux te foutre de ma gueule, moi qui ne passais jamais le périph' (déjà la Seine c'était ardu) sans vérifier mon passeport et mon BCG. Tenez-vous le pour dit, vous les banlieusards chez qui j'ai osé me rendre : J'AI PRIS SUR MOI. Pas ma faute, j'ai grandi en banlieue, c'était pas pour y refoutre les pieds une fois l'ascenceur social arrivé à son faît.
    Et bah si, m'y revoili.
    La banlieue, le lieu du ban de la lie.
    Et pile-poil à l'étage où mon ascenceur social s'est arrêté : juste au premier, au-dessus d'un bistrot.
    J'te JURE. Ca s'invente pas, la crise immobilière comme excuse de la cirrhose.
    De toute façon tu pourras vérifier quand tu viendras - parce que tu viendras HEIN DIS ??!!
    Surtout que Montreuil c'est de la ban(dante)lieue, de la ban(co)lieue, de la (ok t'as compris).
    69 m² (mesuré par un aveugle marseillais), plus grand que l'actuel en tout cas. Et deux salles de bain pour les amis de passage gastriquement contrariés.
    Le métro à 300 mètres, les puces, le cinéma Méliès, la Voynet, toussa.
    Chacun sa croix (de Chavaux).

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    mots-clé du jour :
     Richard Avedon / Mireille Mathieu

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